par Odillon » Sam Aoû 20, 2011 1:23 pm
Un peu bizarre qu'on ait trouvé aucun frelon dans le car, non ?
J'en propose une autre.
Dans un quartier bourgeois, une femme hurle à sa fenêtre et demande de l'aide avant d'être touché par une décharge de fusil et de s'effondrer à l'intérieur de l'appartement. Les passants appellent la police et les habitants de l'immeuble se pressent devant la porte principal de l'appartement qui appartient à un riche couple. Là, ils entendent des bruits de lutte et une autre décharge de fusil, puis plus rien. La porte d'entrée est une lourde porte avec une serrure robuste et il faut du temps à la police avant de parvenir à l'ouvrir.
Quand la police rentre dans l'appartement, elle trouve le mari mort au milieu du salon (l'analyse médico-légale démontrera qu'il est mort sur le coup après avoir été touché et avoir lutté contre son agresseur) et la femme qui, elle, a été touché alors qu'elle appelait à l'aide et qui s'est beaucoup traîné dans l'appartement avant de mourir. En revanche, il n' ya pas de traces du fusil ou de l'assassin. Or, l'appartement n'avait que trois issues : la porte d'entrée principale devant laquelle les autres habitants de l'immeuble et la police était rassemblée, la grande fenêtre donnant sur la rue en dessous de laquelle une foule de passant s'était rassemblé et la porte de service pour les domestique, qui ne s'ouvre et ne se ferme que de l'intérieur et qui est fermée de l'intérieur. Il était impossible de la crocheter de l'extérieur et la serrure ne porte aucune marque et aucune griffure caractéristique d'une tentative de crochetage. La police est d'ailleurs arrivé à cette issue dix minutes après l'appel à l'aide, avant que la porte principale ne soit ouverte et personne n'aurait pu crochyeter une telle porte en si peu de temps.
Il n'existe pas de cachettes ou de passages secrets par lequel l'assassin aurait pu partir en emportant le fusil.
Que s'est-il passé ?
Et en plus, je n'ai strictement rien à vous vendre.